C’était l’occasion  ou jamais de les sortir mes jolies petites bottes, produit d’une matinée  shopping a Harajuku pendant la saison des pluies. Dimanche soir, l’énorme  orage nous tombe sur la tête, pluie battante (pauvres maids encore  sur le trottoir, sans doute trempées comme des soupes), et déjà l’annonce  d’un typhon force 8 pour le mardi qui suit. Lundi, la journée est  maussade, et dans l’après-midi, tombe l’email nous informant qu’un  typhon force 8 se prépare et qu’il faut rentrer chez soi 
“According  to the latest update from the Hong Kong Observatory, typhoon signal  No. 8 will be hoisted at or before 6pm.  All department  heads are encouraged to ensure making work arrangement and start releasing  staff who require to take longer time to return home.” 
 Je retrouvais justement  Thomas et son ami Mathieu, fraîchement arrives a HK, vers 18h, donc  bravant tous les dangers, nous sommes allés prendre un verre puis dîner  dans un resto chinois, bien bon ma foi. La pluie a commence a tomber,  et les bourrasques de vent a rugir. Il était temps de rentrer. Nous  pensions prendre le tramway, mais en arrivant au niveau de l’arrêt,  après avoir abandonne l’idée d’ouvrir mon parapluie tellement  le vent soufflait fort, quelque chose me frappe. La rue est étrangement  calme. Trop calme. Les rues sont vides de gens a part quelques hurluberlus  qui essaient de trouver un taxi (et nous, un peu déboussoles). Il n’y  a plus de transports. Voilà ce qui clochait : plus de bus ni de tramways.  Plus de foule qui marche a deux a l’heure sur les trottoirs bondes.
Je retrouvais justement  Thomas et son ami Mathieu, fraîchement arrives a HK, vers 18h, donc  bravant tous les dangers, nous sommes allés prendre un verre puis dîner  dans un resto chinois, bien bon ma foi. La pluie a commence a tomber,  et les bourrasques de vent a rugir. Il était temps de rentrer. Nous  pensions prendre le tramway, mais en arrivant au niveau de l’arrêt,  après avoir abandonne l’idée d’ouvrir mon parapluie tellement  le vent soufflait fort, quelque chose me frappe. La rue est étrangement  calme. Trop calme. Les rues sont vides de gens a part quelques hurluberlus  qui essaient de trouver un taxi (et nous, un peu déboussoles). Il n’y  a plus de transports. Voilà ce qui clochait : plus de bus ni de tramways.  Plus de foule qui marche a deux a l’heure sur les trottoirs bondes. Nous nous engouffrons  donc dans le metro, ou nous sommes informes de la situation météorologique :
Les rues sont calmes,  les commerces d’habitude toujours disposes à travailler un maximum  sont déjà fermes. Le calme avant la tempête.
La nuit a été violente,  pluie et bourrasques de vent, l’alerte 8 est maintenue jusqu’au  lendemain matin 10h, heure vers laquelle les transports qui étaient  jusqu’alors suspendus reprennent du service. Profitant d’un moment  d’accalmie, vers 8h, je me suis engouffrée dans le metro à Tin Hau.  Une fois dedans, plus aucun risque risque car la sortie d’Admiralty  permet d’être toujours protège jusqu’au bureau. Pratique !


 
 

elle sont sympa tes copines!! et quel style... en plus elles sont serviables
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